Dans le sud du Vietnam .
05-02-2012
CHAPITRE 1 : C’EST RE-PARTI
Après le faux départ de la veille, ce matin tout le monde est prêt. Pas facile de quitter le lit douillet de la chambre d’hôtel climatisée, mais vers 8h00 nous sommes tout de même sur les pédales de nos engins à propulsion humaine, impatients de tester l’efficacité de leur premier nettoyage/graissage du voyage. Pour commencer, on a décidé de rejoindre la mer près de l’embouchure d’un des bras du grand fleuve Mékong, puis de remonter ce dernier en direction du Cambodge. Armés de quelques baguettes de pain et de huit litres d’eau dans la remorque du tricycle, on roule jusqu’à ce que la chaleur du soleil ne nous le permette plus. Quelques poignées de kilomètres durant lesquels Patrick hurle en de petits craquements réguliers tellement ses roulements de pédalier le torturent et où Seb fait cruellement mine de ne pas l’entendre en se concentrant sur son rythme de flexion-extension musculaire. De leur coté, Marjo et Babeth, dont les vitesses de croisière sont nettement plus élevées que celles de leurs compatriotes masculins, accélèrent et ralentissent par vagues régulières afin de maintenir un écart invariable entre les deux groupes.
CHAPITRE 2 : LA PAUSE CAFE
Vers 11h, on s’arrête alors pour la première « pause café » d’une longue série dans le Sud de ce pays. La « pause café » serait, en France, plus communément appelée l’ « entre midi et deux » et s’effectue lors de la période la plus chaude de la journée : généralement entre 10h minimum et 16h maximum. La « pause café » peut précéder ou suivre le repas de midi, mais elle l’encadre la plupart du temps. Elle peut prendre différentes allures mais suit toujours le même principe. Il y a d’abord le repérage du lieu : les routes Sud-vietnamiennes pullulant de petits restaurants et de cafés, il faut que le groupe se mette d’accord sur l’endroit le plus sympa, le plus ombragé, le moins peuplé mais il faut surtout que la terrasse de l’établissement soit équipée d’au moins deux hamacs. Une fois les vélos installés à l’ombre, nous suivons toujours le même rituel : on s’installe à demi-allongés sur les deux premiers hamacs qu’on repère, puis on commande deux « cafés » (mais attention, en vietnamien prononcez [cafai], en insistant sur la deuxième syllabe, sans cela l’asiatique vous regardera avec des yeux ronds n’ayant aucune idée de ce que vous pouvez bien lui demander). Pendant qu’on reprend notre souffle, deux grands verres remplis de glace frappée nous sont apportés. Généralement le café vietnamien est préparé à l’avance à l’aide d’un filtre à café métallique grand format, puis conservé au frais dans des bouteilles en plastique. Dans ce cas là, le café naturellement crémeux et chocolaté git au fond du verre servit, baigné dans la glace. Certaines fois, le verre de glace est accompagné d’un plus petit verre sur lequel un petit filtre métallique laisse s’écouler le café chaud sur du sucre. Il suffit ensuite de verser la substance caféinée sur la glace et d’en savourer le mélange fraicheur et goût intense à l’aide d’une paille en plastique, tout en remuant la glace régulièrement avec la longue cuillère fournie (avec un petit air détaché et serein, à la mode locale). Après cela, le reste des glaçons servira à refroidir le thé chaud ou tiède en libre service sur chaque table. On peut rester ainsi plusieurs heures, s’hydratant, se reposant, discutant et s’occupant de nos petites activités personnelles. Selon l’accueil, on se fait des copains, on se fait offrir de la bière, du vin de riz ou des fruits. Après cela, on fini notre journée sportive pleins de courage.
CHAPITRE 3 : LES ROUTES SUD VIETNAMIENNES
Après cette première « pause café » animée par la rencontre du patron des lieux très généreux sur les verres de bière fraiche et les shooters d’alcool de riz, on repart vers 16h l’estomac lourd et le cœur léger. On roule une heure et demi avant que le soleil ne face mine de se coucher.
Contrairement au parcours du Nord du pays, les routes du delta du Mekong sont beaucoup plus agréables. Sur près de 300 kilomètres parcourus, la plupart des routes sont goudronnées mais surtout plates, ce qui est agréable pour pédaler. On se trouve généralement un rythme stable, puis on peut papoter tranquillement l’un à coté de l’autre pendant que Patrick et Babeth roulent courageusement. La circulation est globalement assez chargée. Sur les grosses routes, camions et bus doublent rapidement les nombreuses motocyclettes à cheval entre leur petite voie réservée et le reste de la voie. Sur les routes plus modestes, les gros engins sont moins nombreux et les deux roues sont maîtres de la circulation. Ce sont pour la plupart des motocyclettes de type semi-automatique, de 100cc à 125cc, Suzuki ou Honda. Elles peuvent trimballer de une à cinq personnes (deux parents et trois enfants) et sont employées par tout type de personnes : le cadre en costume parcourant le pays pour ses affaires, la famille entière allant chercher son sachet de bloc de glace, les jeunes étudiants plus aisés que les autres ou encore des marchands transportant tout et n’importe quoi (paniers remplis de noix de coco vertes, cochons, batterie de cuisine en aluminium, bouteilles de gaz ou frigidaire…). La bécane nationale est la Honda Super Club (la préférée de Marjo), on la trouve parfois en état correct, mais la plupart du temps en « pièces détachées roulantes ». On lui accroche quelque fois une remorque pour augmenter sa capacité de chargement faible.
On se fera aussi souvent doubler par les écoliers et étudiants allant et revenant sur leur bicyclette. Pour l’uniforme, les filles en tunique blanche traditionnelle portée sur un pantalon foncé, et les garçons en chemise blanche et pantalon foncé. Certains d’entre eux révisent leurs notions d’anglais avec Marjo sur le chemin de l’école.
Mais on doublera tout de même les vélos-remorques et autres poussepousses à main vendant matinalement les fruits, épices, légumes et viandes aux restaurateurs du passage.
Les routes sont généralement pleines de vie et rarement inhabitées. On pourrait même presque parler de « rues » tellement les maisons, restaurants, épiceries et fabriques en tout genre s’y collent et profitent de cette voie de circulation et d’échange, même loin des villes ou villages.
Tout de même, lorsqu’il n’y a pas de bâtiments, le paysage prend très vite une teinte vert fluo, couleur des grandes rizières s’étendant à perte de vue. Les hauts palmiers et cocotiers rythment aussi la beauté des paysages alors que les plus petits bananiers ouvrent l’appétit d’un simple regard sur leurs fruits murissants.
CHAPITRE 4 : L’ACCUEIL, PREMIER ESSAI
Après cette première journée de vélo en direction du Sud, la troupe est fatiguée et tant mieux, car le soleil se couche. Il fait chaud et le ciel est clair donc dormir sous la tente est tout à fait envisageable. On s’arrête dans un petit village où la route mène à un ferry afin de traverser de l’autre coté de la rivière. On se renseigne sur les accommodations les plus proches et un homme nous dit qu’un « hôtel » se trouve quelques kilomètres en arrière. Alors qu’on est en train de tenter de s’inviter dans le jardin d’une famille qui a l’air très sympathique, ce même homme arrive sur son scooter et nous explique, avec une pointe d’agressivité que ce n’est pas possible de dormir chez les gens et qu’on risque d’avoir des problèmes… Du coup la famille très souriante n’a plus trop envie de nous aider. Tant pis pour cette fois, on fait quelques kilomètres en arrière et on trouve notre premier « Ngna Tro ».
CHAPITRE 5 : LES NUITS EN BORD DE ROUTE
Deux femmes en scooter nous suivent lentement pour nous amener devant le « Nnga Tro » où nous nous installons pour la nuit. Ce genre d’établissement ressemble aux « Nnga Ngni » qu’on a beaucoup utilisé dans le Nord, où la famille propose une ou plusieurs chambre dans sa maison, à la différence près qu’ici les chambres sont séparées du bâtiment familial et sont la plupart du temps disposées les unes à la suite des autres de chaque coté d’un long couloir, à la mode pénitencier. Le confort dépend de l’établissement mais l’ambiance est généralement assez glauque. Dans le meilleur des cas nous avons une petite chambre avec une fenêtre vue sur une cour où poussent quelques arbres, un lit passablement propre, une moustiquaire trouée, une table, un pommeau de douche, un lavabo et parfois le luxe de la climatisation. Mais la plupart du temps la petite pièce n’est équipée que d’un matelas, un ventilateur et un robinet dans les toilettes pour se laver au seau. Bien sur, la nuit n’est vraiment pas chère et on paye généralement entre 50 et 120 Dong (entre 2 et 5 Euros) pour deux.
Mais le plus gros avantage de ces établissements c’est qu’il y en a de partout sur le bord des routes, donc très pratique pour le voyage à vélo.
CHAPITRE 6 : LES REPAS
Après s’être installés dans la petite chambre, nous effectuons un rituel que nous allons beaucoup répéter. On décharge le tricycle : nos deux gros sacs, le sac de bouffe, le sac de vaisselle et l’eau. On laisse sous la bâche le sac d’outils, les tapis de sol et les chapeaux. La tente est accrochée à l’arrière de Babeth et on la décroche seulement si on a besoin de monter à deux sur le vélo. On passe ensuite à la douche, ou plutôt au seau, pour enlever la crasse, la sueur, la pollution, la poussière et la crème solaire de nos corps. On met nos vêtements longs (pantalons, manches longues) et on se crème d’anti-moustique. Après cela, il fait généralement nuit et on part en quête de nourriture, sur Babeth, la lampe frontale au front, on s’arrête au premier « boui-boui ». Le soir, on nous sert généralement de la soupe et des noodles, agrémentées de légumes verts et de toutes sortes de viandes possibles et imaginables flottant dans le bouillon. Pour le petit déjeuner, pareil, sauf quand on a la chance de trouver du Bo-Bun : noodles frais, pousses de soja, crudités, nems grillés et cacahouètes écrasées, le tout servi froid avec une sauce spéciale : très bon et rafraichissant. A midi, on peut avoir de tout mais on ne trouve jamais ce que l’on veut… Notre préférence va pour le riz blanc, légumes et porc caramélisé, pas trop lourd mais énergisant !
Nous continuons à voir des restaurants de viande de chien et nous pensons d’ailleurs en avoir mangé une fois sans réellement le savoir : les os faisaient penser à du poulet, mais trop gros pour en être et le gout était très particulier, mais pas mauvais.
Tout comme les Ngna Tro, les restaurants pullulent en bords de routes et nous n’avons jamais de mal à trouver de quoi manger, le tout étant de ne pas être difficile sur le « menu ».
CHAPITRE 7 : LES DELTAS DU MEKONG
Après une bonne nuit de sommeil, on part généralement vers 07h00. Cette fois-ci, c’est pour aller prendre notre premier ferry sur le Mékong. Nous attendons un certain temps dans la « salle d’attente » réservée aux deux-roues et piétons où les motocyclettes s’entassent devant la porte de sortie attendant le signal du départ. Après avoir fait embarquer quelques voitures, un bus et un camion dans le bateau, le chef de quai ouvre la grille nonchalamment et la horde de moteurs thermiques fonce pour avoir une place à l’ombre sur l’embarcation. On a juste assez de place pour monter nos deux vélos. Dans les deltas du Mékong, les bras du fleuve sont nombreux et parfois très larges, on aura donc à prendre plusieurs « ferry », plus ou moins modernes, afin de rejoindre nos destinations. Les ferrys officiels sont bien organisés et très peu cher, mais sur les plus petites iles du delta nous devons monter dans de plus petits bateaux, un peu plus onéreux. Ce sont des embarcations en bois avec l’intérieur réservé aux passagers et le toit aux véhicules (motos et vélos), elles sont souvent très joliment décorées. Un gros moteur de bus ronfle à coté des voyageurs, contrôlé par le capitaine installé plus haut sous un petit toit de paille. Il tire sur une grosse corde pour accélérer tout en fixant le cap du bout du pied. Nous traversons ainsi plusieurs îles sur lesquelles nous roulons à travers les chemins plus ou moins ensablés. Les paysages sont magnifiques et les gens paisibles mais nous croiserons tout de même un énorme complexe touristique en construction au milieu d’un petit village de brousse paradisiaque. Nous achetons ici la grosse grappe de petites bananes sucrées la moins chère de notre périple… qu’en sera-t-il l’année prochaine ?
CHAPITRE 8 : LES REPARATIONS DE PATRICK
Après avoir traversé le fleuve sur notre premier ferry Vietnamien et avoir mangé notre premier Bo-bun en petit-dèj, nous roulons en direction du bord de mer. Patrick devient vraiment trop bruyant et les craquements sont de plus en plus inquiétants. Même s’il vaut mieux tard que jamais, il ne faut jamais reporter à demain ce que l’on peut faire tout de suite… règle très difficile à suivre pour nous ! Nous nous arrêtons alors chez le premier mécanicien Vietnamien d’une longue liste… Le jeune homme a compris le problème : rapidement et presque pas violement, il démonte le pédalier de Patrick et en sort toute une flopée de billes plus ou moins écrasées. Pas de problème, un coup de scooter et il revient 5 min plus tard avec un sachet de billes neuves. Pendant ce temps, Seb nettoie à l’essence la mécanique encrassée, chose que le jeune homme n’avait pas prévue de faire. L’apprenti mécano remonte rapidement le tout, à tel point qu’on doit lui préciser que des billes lui ont échappé, puis il ressert avec force les pauvres écrous de Patrick, fabriqués dans un métal chinois fragile.
Le tour est joué : plus de bruit, le pédalier tourne agréablement et Patrick parait content, jusqu’au moment où le pédalier ne tourne plus, ou presque…
S’en suivra toute une série de réparations pour régler le problème, soit avec nos outils et l’aide des gérants de café, soit chez les petits mécanos de route. Comme pour les restaurants et les hôtels, il y a des mécaniciens tout le long de la route qui vous proposent de l’essence, de gonfler les pneus, un nettoyage complet du scooter et parfois, une réparation. Celle-ci est très souvent effectuée à grands coups de marteau et burin, et on n’hésite pas à découper des boites de sauce tomate pour fabriquer des pièces essentielles, ou pas. Impressionnés par l’ingéniosité et l’énergie de ces vietnamiens, on s’est pourtant vite rendu compte que rien ne sert de courir… et qu’on n’est jamais mieux servi que par soi même ! Nous avons mis fin au problème, calmement, à l’aide des outils d’un « papi » très frustré de ne pas pouvoir diriger les opérations.
CHAPITRE 9 : L’ACCUEIL, DEUXIEME ESSAI
Après cette première journée de réparations (3 passages chez les mécaniciens et 2 réparations-cafés) nous arrivons au bord de mer. On ne s’attendait à rien, mais pas à ca : au bord, un long quai en béton où quelques vietnamiens se baignent tout habillés et au loin, de nombreuses cabanes en bois sur pilotis submergées de moitié. Le lendemain, nous verront les pêcheurs y accéder à marée basse. Nous ne nous attardons pas et partons en quête d’un endroit où dormir pour cette deuxième nuit dans les deltas. Nous n’avons pas spécialement repéré d’hôtel et préférons tenter de dormir dehors ou chez des gens. Le contact se fait dans un petit restaurant très bon au bord d’un petit port très beau. Nous y faisons la rencontre de Ben (prononcez « Beune ») qui se soucie de l’état de Patrick et nous emmène chez le mécano du coin pour régler le problème. Très vite, une quinzaine de gamins et quelques jeunes hommes sont autour de nous, intrigués, mais surtout amusés. L’ambiance se réchauffe d’autant plus lorsqu’on arrive à faire comprendre à Ben qu’on espère dormir dans le village, puis que les enfants nous aident à monter la tente sur un coin d’herbe. Nous avons alors droit à la visite du village, accompagnés de nos nouveaux petits amis, puis nous buvons le thé chez la grand-mère de Ben en discutant avec les voisins à l’aide de nos deux dictionnaires : Français-Anglais et Anglais-Vietnamien. Mais l’arrivée du chef du village, puis d’un policier au repos va compliquer un peu la rencontre. Nous devons montrer nos passeports puis essayer d’expliquer ce que nous faisons là. Finalement tout à l’air de rentrer dans l’ordre et les jeunes nous invitent à jouer au billard et au baby-foot pour ensuite aller déguster quelques bières. Malheureusement, en pleine partie, Ben nous appelle et nous découvrons quatre policiers en uniformes, casquettes et matraques, l’un deux étant le flic du village, rencontré précédemment. Ils revérifient nos passeports puis nous disent formellement que nous ne pouvons pas dormir ici, soit disant pour notre sécurité. Il fait nuit et ils proposent de nous escorter jusqu’au prochain hôtel à « 4 kilomètres d’ici », on n’est pas contents, mais on n’a pas le choix. Nos amis aussi semblent déçus, mais personne n’ose rien dire. Ben gardera tout de même le sourire jusqu’au bout, il nous aidera à démonter la tente, puis à conduire le tricycle jusqu’à l’hôtel. Mais à 4 km, ce n’est pas l’hôtel que nous découvrons, mais le poste de police. Assis à la table de deux nouveaux officiers, face à deux verres d’eau, nous subissons une troisième fois les mêmes questions et analyses de nos papiers. Finalement, ils nous laissent rejoindre l’hôtel (nous avons baissé le prix de la chambre en négociant directement avec le policier…) par nos propre moyens et seuls. Heureusement, Ben nous accompagne pour les 5 ou 6 kilomètres restants puis rentre chez lui avec ses potes motorisés.
Le lendemain, nous avons deux choix : repartir en arrière et continuer notre route en direction du Cambodge, ou bien faire un détour pour retourner voir Ben et son village. Nous décidons d’y retourner et nous passons une matinée agréablement bien accueillis, à manger du poisson, des crevettes et coquillages en buvant du thé glacé. Finalement Ben nous donne l’idée de traverser les deltas du Mékong par les îles en prenant des bateaux. L’idée nous plait et il nous accompagnera pour traverser la première île avec son scooter et en poussant Patrick avec le pied.
Après cette expérience, nous n’essayons plus d’être accueillis pour la nuit et préférons les petits Ngna Tro, simples et pas chers.
CHAPITRE 10 : GOODBYE VIETNAM
La fin du Vietnam est pour nous une petite route goudronnée longeant le bord du Mékong, aux paysages verts de rizières et cocotiers, des habitations, un pied dans l’eau, un pied sur la route, des gens souriants et saluant (Hello !), les premières « vaches indiennes », grandes, maigres et blanches et nos derniers cafés-hamac avec le fameux café glacé Viet !
Nous faisons tamponner nos passeports à un poste frontière installé dans un bateau amarré au bord du Mékong et pédalons en direction des simples barrières séparant le Vietnam du royaume khmer.
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4 avril 2012
Heureux de vous avoir lu ! On notera finalement les mêmes bonnes surprises (Bo-Bun, sympathie des gens du sud, hamac au bord de route …) et les mauvaises (sur-assistance en cas de problème, magouille policière, hébergement carcéral …).
Patrick ne collabore pas toujours !
Nous sommes impressionnés par votre persévérance et motivation.
Le royaume Khmer vous a enchanté?! c’est certain.
On attend la suite toujours avec impatience.
11 avril 2012
vous avez maintenant de la lecture pour trouver reponse a votre derniere question ! bonne suite a vous …
4 avril 2012
Bonjour vous deux ! (ou 4 selon le point de vue)
CELA FAIT PLAISIR D’AVOIR DE VOS NOUVELLES ! Il me semble que cela fait une éternité que je ne vous ai pas lus !
Je vois que vous avez appris à vous ménager des moments de quiétude, leur récit est un bon moment de lecture …on entend presque le bruit des glaçons contre le verre ! D’ailleurs peut-être que ces récits ont été écrits du fond du hamac, l’ordi sur les genoux, la paille au coin des lèvres …
Pour les photos, je repasserai, je n’ai pas pu les ouvrir.
Côté mécanique vélo, Seb aurait dû prendre quelques leçons avant de partir, avec johan, mais au final …il va peut-être pouvoir en donner !
Bon, j’attends le prochain numéro avec impatience, ne nous faites pas attendre aussi longtemps !
Prenez bien soin de vous (mais je crois que vous êtes sur la bonne voie …) et bon anniversaire Seb de la part de toute la famille!
Je vous embrasse
Claire
11 avril 2012
Olala, et non l article a ete ecrit en Inde sur le balcon d un appart a Calcutta ! Merci pour tout ca et bonne lecture de la suite… mais maintenant que notre ordi est casse, le Laos et l Inde risquent de se faire attendre !
5 avril 2012
super récit , merci encore à tous les deux de nous faire part avec détails de ce voyage !
gros bisous
5 avril 2012
Coucou les Loulous!
C’est cool d’avoir des nouvelles « presque » fraiches sur votre blog!
le simple fait de lire votre récit me fait voyager et le Vietnam donne plus particulièrement envie!
Cet article sous forme de chapitre me donne l’impression de lire un livre, même si il est trop vite dévoré!
En tout cas ce sont de très beau articles que vous nous faites à chaque fois découvrir…
Je vous envoie plein de bisous!
Antus
6 avril 2012
Bravo pour article et photos: j’en frémis d’émtion de vous suivre.
Y a t-il un moyen sur votre blog d’avoir un résulé de tout votre voyage jusqye’à ce jour: payx, villes, dates … et ce qu’il vous reste à faire?
bisous
11 avril 2012
On y pense …! pour le moment, tu peux voir dans la rubrique « photos » la chronologie du voyage …
23 février 2019
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